Salut!
c'est la première fois que j'écris un texte sur ce thème…. J'ose, comme qui dirait
Du coup , il y a probablement des maladresses.
D'habitude je fais un brouillon et je recopie mais là c'est écriture directe. J'espère qu'il n'y a pas trop de fautes. J'ai corrigé celles que j'ai vu mais il en reste peut-être.
Ce soir-là, j'étais invitée à une soirée où je ne connaissais personne. Je n'avais pas très envie d'y aller mais une amie m'y a encouragé me disant que ça me ferai du bien, que ça me ferai rencontrer d'autres gens. Je me suis laissée convaincre.
Je suis arrivée sur les lieux un peu surprise, la soirée se déroulait dans un manoir. Une bonne dizaine de voitures était déjà sur le parking. Des personnes en sortaient, habillées de smoking et de jolies robes. Je me garai et sortit de la voiture, je restai un instant à observer le château. C'était une très jolie bâtisse faite de granit rose, comme les maisons aux alentours. Deux tourelles de chaque coté lui donnait un air de mini-château de contes de fées. Le jardin fleuri prenait des couleurs dorées avec le soleil couchant. L'ensemble était amical, accueillant, je me décidais à entrer. Je montais les trois marches et me présentais au majordome en queue de pie. Il me sourit, lut le carton d'invitation que je lui présentais, inclina la tête me laissant passer.
Je fis une pause, le temps d'ajuster un peu ma robe. "J'espère avoir choisi la bonne tenue" pensais-je. J'avais passé des heures devant mon dressing, à réfléchir à ce que j'allais mettre ce soir, les conseils de mon amie ne m'avaient pas vraiment aidée. Si je l'avais écoutée, je serai à présent dans une robe fourreau rouge flamboyante au décolleté vertigineux. Déjà que je ne suis pas très à l'aise en présence d'inconnus, je n'aurais pas su où me mettre. J'avais donc opté pour une robe légère bleu ciel au décolleté raisonnable. Au moins, je me sentais à l'aise dans celle-ci.
J'entrai donc. Je senti quelques regards intrigués mais avec des sourires bienveillants, ce qui me rassura, je souriais en retour. Un serveur en passant me présenta une coupe de champagne que j'acceptais. Je fis le tour des différents salons pour me repérer, admirant la décoration, les meubles. On sentait que les propriétaires étaient aisés mais sans chichis. Mon tour terminé, je m'installais dans un coin et observais les convives. J'aimais beaucoup ça, rester un peu en retrait et regarder ce qu'il se passait autour de moi. Les gens passaient, souriants, à l'aise. Il y avait un peu tous les âges. Les plus jeunes devaient avoir vingt-cinq ans, les plus vieux proches de la cinquantaine. Un détail me troubla, il n'y avait pas d'enfants. Mais pourquoi pas, après tout?
Cette soirée commençait tranquillement. Je me sentais bien, discutant de temps à autres avec d'autres invités. Je m'approchais du buffet quand je le vis. Je m'arrêtais net. L'homme discutait avec quelques personnes. Il était assez grand, brun, son costume lui donnait une prestance incroyable. Son visage exprimait une douceur malicieuse. Ses yeux pétillaient. Il dut sentir mon regard car il tourna la tête vers moi et me sourit. Je rougis immédiatement, il se mit à rire de mon embarras. Je détournais les yeux, écarlate.
Je passais le reste de la soirée sans pouvoir détacher mon regard de lui. J'étais subjuguée par ses gestes, son rire, sa manière d'être. Il me jetait quelques œillades qui me rendaient cramoisie. Cela le faisait beaucoup rire. Je ne m'aperçus pas que l'ambiance avait changé imperceptiblement.
Puis une femme s'approcha de moi:
" Il est beau, n'est-ce pas? "
Je tournais la tête vers elle, rougissant de nouveau d'être prise sur le fait. Elle rit. Cette femme était très belle. Sa robe grenat mettait en valeur sa taille fine et sa poitrine avantageuse. Mon regard se perdit de nouveau vers l'homme. Elle reprit:
" Ici, je m'appelle Iris, et lui, c'est Bleuet. Nous avons tous des noms de fleurs."
Je la regardais, surprise. Je ne comprenais pas. Elle me fit signe du regard, je levais les yeux et vis que les lumières avaient baissé d'intensité, l'ambiance était devenue tamisée. Je voyais quelques couples se former et entendais quelques gloussements étouffés. Elle dut voir ce qui se passait dans mon esprit à cet instant:
" Tu ne savais pas ? Tu n'es jamais venue à une soirée comme celle-ci?"
Je fis non de la tête. Je ne savais que penser. Une partie de moi me commandait de partir, de quitter cet endroit mais je ne bougeais pas. Iris choisi ce moment pour mettre sa main sur ma taille et m'embrassa sur la bouche. Etrangement, je me laissais faire.
" Je n'ai jamais…… dis-je
- Embrassé une femme?" dit-elle en souriant
Je hochais la tête. Elle m'embrassa de nouveau et je répondis à son baiser cette fois.
" Ne t'inquiètes pas, tout va bien. Viens."
Elle me guida vers l'escalier, faisant un petit signe à quelqu'un en montant les marches. Nous arrivâmes dans un long couloir faiblement éclairé. En passant devant quelques portes, j'entendis des soupirs langoureux. Iris me mena à la dernière porte et me fis entrer. J'avançais jusqu'au milieu de la chambre. Celle-ci était grande, joliment agencée, un lit à baldaquin trônait en bonne place, deux fauteuils style Louis 16 devant une fenêtre. Un petit boudoir sur le côté. La pénombre ajoutait à la magie du lieu.
La jolie femme ferma la porte doucement et se mit derrière moi. Je sentais son souffle sur mon cou, c'était agréable. Elle mit ses mains sur mes épaules et doucement me caressa. Je sentais ses mains sur mes bras, ma taille, mon dos. Elle remonta sur mes épaules et descendit lentement sur ma poitrine. Je fermais les yeux, ses caresses étaient délicieuses. Iris fit glisser les bretelles ma robe qui tomba au sol. Elle dégrafa mon soutiens-gorge libérant ma poitrine. Ses mains toujours caressantes, elle se mit devant moi et m'embrassa de nouveau. Je mis mes mains sur sa taille et les laissa se promener sur son corps. Je la sentais tressaillir à certains endroits. Elle me tourna le dos et je compris qu'elle désirait les mêmes caresses. Je fis tomber sa robe, je touchais sa poitrine, sa peau était douce. Prise d'une impulsion, je me mis devant elle et l'embrassais. Je descendis lentement, déposant des baisers le long de son cou, et m'arrêtais sur ses seins. Elle sourit. Je remontais de la même manière jusqu'à sa bouche et sourit aussi. Elle fit courir alors ses mains plus bas, et enleva ma culotte. Caressa mes fesses, puis passa devant, ses doigts agiles trouvant immédiatement mon clitoris. Ma respiration changea. Je sentis la sienne un peu plus haletante également. Je lâchai un soupir quand elle mis ses doigts dans mon vagin. Je l'embrassai à pleine bouche. Elle guida ma main vers son sexe mis mon doigt là où il fallait. Je jouais un peu, copiant ses gestes. Je la sentis soupirer, frémir sous mes mains, ça m'excitais davantage. C'est alors qu'il entra.
Je m'arrêtai net. Bouche bée. Iris se retourna et sourit. Elle s'approcha de lui, l'embrassa et commença à détacher les boutons de sa chemise, découvrant son torse musclé. Bleuet me regardait, souriant. Il était si proche de moi! Je pouvais sentir sa légère eau de toilette. L'odeur ne faisait qu'accentuer le trouble qu'il me faisait ressentir. Je n'osai plus bouger. Iris se remit derrière moi et prit mes mains, les posa sur le torse de l'homme. Je tremblais. Il rit doucement. La jolie femme fit glisser mes mains sur lui, puis sentant que je m'enhardissais, lâcha mes mains et me caressa. Bleuet me laissa faire quelques minutes. Il prit ensuite les devants, m'embrassa d'abord doucement puis un peu plus fougueusement. Iris défit sa ceinture et le déshabilla complètement. Il nous apparut alors dans toute sa splendeur, tel Apollon. Ma compagne se glissa derrière lui, le caressant. Il continua de m'embrasser, descendant sur mes seins, ses doigts se faufilant dans mon sexe, me faisant soupirer. Je le senti frémir quand je mis ma main sur le sien. Je le caressais un moment puis je déposais des baisers en descendant jusqu'à sa verge que je léchais puis mis dans ma bouche. Il gémit de plaisir.
Iris l'embrassa, prit la main de Bleuet et la guida réclamant ainsi les mêmes caresses. Elle haletait sentant ses doigts aller et venir dans son vagin. L'entendre ainsi m'excitais encore plus. Je me relevai, et embrassait Iris fougueusement. Je sentais qu'elle allait bientôt jouir. Bleuet aussi. Elle s'assit sur le lit, je me mis à genoux devant elle et commença à lui lécher le clitoris, mettant mes doigts dans son vagin par intermittence. Bleuet se mit à côté d'elle, lui caressant les seins, puis elle pris son sexe à son tour dans sa bouche, l'homme gémit de nouveau.
Iris était au bord de l'extase, Bleuet pris ma place et introduisit sa verge dans le vagin de notre compagne. Il fit des va et vient lentement puis de plus en plus rapide. Je jouai avec son clitoris, elle ne tarda pas jouir. La voir, la sentir ainsi augmentait ma propre jouissance. Elle retint sa respiration une seconde, se tendit comme un arc et cria de plaisir. Elle eut quelques derniers sursaut quand je l'embrassais. Nous la laissâmes reprendre son souffle, Bleuet pendant ce temps avait vu mon regard gourmand d'envie et m'assit sur le lit tout en me caressant, m'embrassant sur tout le corps pour finir par un cunnilingus. Je m'allongeai, fermant les yeux, appréciant l'instant, laissant toutes ces sensations monter en moi. Je gémis sous sa langue et ses doigts experts, quand il senti que la jouissance était proche, il changea de position et me pénétra doucement d'abord, plusieurs fois de suite, puis de plus en plus vite, je sentais le plaisir augmenter. Il entra une dernière fois, imprima son va-et-vient, pendant qu'Iris, remise de ses émotions vint jouer avec mon clitoris. Il ne fallut pas très longtemps à ce rythme pour que l'orgasme arrive, intense, voluptueux, comme je n'en avais jamais connu avant. Je sentis cette chose monter en moi, me prendre tous les muscles un à un, me traverser de part en part, me contracter puis cette chaleur aller jusqu'à toutes les extrémités de mon corps. Je criais, gémissais de plaisir. Les dernières caresses furent douces, sensuelles. Mes compagnons me laissèrent un instant profiter de cet état.
Iris se tourna vers Bleuet, souriante, l'embrassa, elle sentait qu'il était prêt ou presque. Elle se mit à le caresser doucement attendant que j'arrive. J'avais encore un peu les jambes en coton mais je tenais à aider Iris. Faire jouir un homme tel que Bleuet était un plaisir que je n'aurai manqué pour rien au monde. Nous nous mîmes toutes les deux à genoux devant lui, léchant sa verge tantôt ensemble, tantôt tour à tour. Le sentir à notre merci réactivait notre désir. Iris se remit à jouer avec mon clitoris et je fis de même avec le sien. Bleuet sentant notre excitation revenir, ne se retint plus et jouit sur nous, ce qui nous fis gémir ensemble Iris et moi.