Poème:
Tu vis sans loi ni foi,
Tes mauvaises actions ne résonnent pas en toi,
Le mal t'habite, il t'envahit et te crie chaque jour que tu devrais continuer,
Continuer, à te comporter comme un menteur et un débauché,
Tu avais succombé aux sirènes de l'immoralité,
Qui te chuchotent, en vain, que le lendemain ne vaut rien,
Que l'avenir n'est que le songe des fous, la religion l'apanage des faibles d'esprits,
Mais si le lendemain ne vaut rien, pourquoi suis-je ici ?
Mais tu n'as pas envie de persister sur cette voie de péché,
Au fond de ton cœur, l'envie de changer surprend la perversion,
Ton esprit bouge et, tes convictions,
Ce qui était sensé avant, devient folie à tes yeux,
L'oiseau de vie s'est ranimé en toi,
Son battement d'ailes se propage, et atteint le rivage,
S'effaçant tel une ombre somptueuse,
Le regard immobile, fixé sur ce qui se passe,
Ta parole se fait plus sage et moins volage,
Ce que tu croyais léger devient lourd,
Lourd de chagrin et de repentance,
Tu cherches Dieu, dans ton cœur et dans ton âme,
Le battement de tes paupières laisse entrevoir les joyaux de la foi,
Ces trésors humbles, qui n'ont pas de rois.
- CORRECTION :
... du Cerf divin
Le mal t'habites : habite
Tu avait : avais
Qui te chuchote : chuchotent
(les sirènes de l'immortalité)pervesion : perversion
tu croyait : croyais