tchekta
Messages : 14 Date d'inscription : 09/05/2015
| Sujet: Edité Mar 16 Fév 2016 - 17:04 | |
|
Dernière édition par tchekta le Lun 22 Juin 2020 - 19:22, édité 1 fois | |
|
Aube Kürten
Messages : 676 Date d'inscription : 07/06/2015 Localisation : dans l'ombre de la vallée de la mort Humeur : Furieux
| Sujet: Re: Edité Jeu 18 Fév 2016 - 6:55 | |
| bon ba sujet de guerre, le thème et très bien respecté , on a limite l'impression d'être dans un avion de tir, te suivant en escadron ou tu nous narre l'objectif je ne sais que dire de plus puisque tout est bien écrit, alors je te dis un merci pour cette lecture Lolo | |
|
tchekta
Messages : 14 Date d'inscription : 09/05/2015
| Sujet: Re: Edité Jeu 18 Fév 2016 - 8:55 | |
| Merci ^^ J'ai mis beaucoup de stylistique je trouve que ça enrichit beaucoup le propos. J'ai passé pas mal de temps dessus, c'était un peu fastidieux mais j'ai réussi héhé | |
|
Invité Invité
| Sujet: Re: Edité Dim 28 Fév 2016 - 14:54 | |
| Yo Je sais pas si tu te souviens comment je fonctionne. J'annote ton texte en bousillant sa mise en forme et en expliquant ce qui pour moi empêche ton texte d'être génial. C'est jamais que mon avis et par défaut, ce que je tait est bon - tchekta a écrit:
Les avions folâtres, volant dans les cieux, Plongeaient tels des goélands de nacre dans l'abîme de la mer, Noire était la peur, rouge était le feu, Les ailes évitaient les tirs silencieux qui fendaient l'air,ta subordonné allourdit la structure, de fait, je mettrait un "ces" plus qu'un "les" et donc me permettrait un participe présent qui permet d'enlever le "qui"
Un élan de courage montait dans le ciel, Le grand hymne de la nation, retentissait au loin, à l'horizon, j'ai jamais été trop fan de la répétition d'une idée en littérature et encore plus en poésie qui doit pour moi être simple et évolué sans se répéter. Donc, l'une des deux entités est de trop Ils chantaient, les morts de la guerre, démentiels ! "la" pose un problème grammaticale, comme tu ne la pas défini, tu fait ici référence aux victimes de toutes les guerres, ce qui fait beaucoup. Cette est mieux. Le sang du désespoir coulait dans les rigoles du tréfonds,
Où était passée leur famille et leurs amis ? Dans les ténèbres du soir, la Mort se tenait prête à ôter, à oter quoi? Problème gramaticale que tu peux certes faire passer pour une licence poétique, mais j'aime pas. D'autant que tu appose deux voyelle à la suite ce qui fait que la langue se casse la gueule en cours de diction. Je te conseille "rôder" plutôt. Où était passée la Beauté, elle nous trahit ? gé pa le lien logique là Parmi les grands champs azurés qui se déroulent à nos pieds,
La vive lumière d'un été sans rides, Resplendissait tel un vieux phare caché dans le brouillard, Et les avions formaient un voile lucide, Qui se riait des pilotes et arrêtait le regard,
Les volutes traçaient des lignes fuyantes, S'amusant près du Soleil noir, s'échappant loin de la Terre, Et la Lune, endormie, n'était plus qu'une fente, Dont la lueur, faible et blanche, zigzaguait tel un éclair, là bah, je voit pas comment une lumière peut zizaguait, et surtout ce verbe est moche. Louvoyait, zébrait, vaccillait... c'est mieux
Et le bruit des balles sifflait dans le chaos, Les pensées des hommes s'évanouissaient tels des espoirs Envolés, jamais de virgule avant un et et surtout pas làet délestés de leurs fardeaux, Il n'y avait plus d'yeux pour voir, il n'y avait plus de foi pour croire,
Leurs aieux criaient le nom de leurs batailles, D'une voix forte, grande etce et n'a aucune raison d'être. il rend ta phrase incorrect qui emplissait le champ de guerre, Les aéronefs étaient pris en tenaille, De ces murmures s'effaçant, pas de virgule ici, même chose inutile, sans raison d'être. Le participe présent est également malheureuxdes souvenirs éphémères,
L'eau de l'océan semblais ait se changer en sang, Abreuvée par les vies des j'aurais mis "de ces" plus logique combattants au moral d'acier, Les astres bleutés laissaient place lentement, À la grande lumière du jour épandue telle une trainée,
Ce fut le paroxysme de la terreur, Le métal criait d'une voix aiguë, terrorisant l'âme, Et l'issue n'était plus qu'une question d'heures, Dans un dernier sursaut, les soldats pensaient à leurs femmes, donc y'as que des hétéros male marié? (je taquine^^)
Ô Terre anéantie et ensanglantée ! Combien de tes enfants te faudra t-il pour panser la plaie ? Ils sont tous ensemble en train de s'entre-tuer, De ce long souffle des âmes perdues dont ton coeur se repaît !
Le silence domina sur le grand chaos,plus abrupte comem transition, c'est difficile Trève du massacre, épilogue certain de la guerre, Aucun mot j'aurai repris par "aucun mot, aucun mort" c'est plus badass ne pouvait décrire le fléau, Aucun bruit ne sortait des corps abandonnés là, faits de chair,
Au loin à l'horizon, là où les lignes se confondent, La paix semblait se lever parmi les esprits rescapés, On sonnait du clairon et désormais le monde, Pourrait vivre l'espoir d'une Terre pacifiée.
Bon J'ai pas aimé. C'est des choses qui arrivent et j'ai essayer de ne pas en tenir compte dans mon commentaire pour t'apporter un avis beaucoup plus critique que personnel C'est je pense le trop grand renfort d'épithète, d'emphase qui m'a donné l'impression d'une caricature de poésie. Du coup, j'ai saturé trop vite et c'est pas passé. C'est pas grave, mille autre aimeront Au plaisir de te relire |
|
tchekta
Messages : 14 Date d'inscription : 09/05/2015
| Sujet: Re: Edité Mar 1 Mar 2016 - 15:41 | |
| Merci pour ton commentaire détaillé, je sais que j'ai utilisé beaucoup de stylistique et d'emphase un peu à la façon des romantiques, mais je te rassures ce n'est pas mon style de poésie habituel . Je préfère ne pas respecter la métrique et faire au feeling, même si des fois ça colle pas parfaitement au niveau des rimes. Je repartagerais ici quelques poèmes pour donner plus de matière à juger (1 ou 2 par semaine ça dépendras je pense). Les détails grammaticaux que tu as relevé sont à corriger certes, j'ai fait une version améliorée de ce poème que je posterais peut-être ici. | |
|