Atelier skype : DESCRIPTION de personnage, AMBIANCES ET LIEUX

Super Ippa merci, moi je serai sans doute là qu'à l'heure dite voire un poil à la bourre (je viens de rentrer, j'ai ni mangé ni pris ma douche, blablabla... )

Ben celui intitulé atelier d'écriture est pas mal oui ? non ?

Oui ^^

Hey! Je viens juste de voir qu'il y avait un atelier ce soir...
C'est trop tard pour prévenir que je voudrais m'incruster?

Pointe toi gamine on va rire

Moi je peux veniiiiiiir

M'oubliez pas

BON VOICI NOTRE MOISSON DE PERSONNAGES objets / animaux ! ça va être drôle héhéhé

Ippa a écrit:

Il avancer à toute allure sur haut plateau de son domaine. La mer en contrebas lui tendait les bras. Pourtant il continua vers les sommets retrouver sa petite chaumière creusé dans la montagne. Ses vêtements avaient pris des teintes étranges après de long mois sous terre, entre le blanc sale, le gris caillou, et le brun des sapins. Les semaines a erré à la recherche de richesse et d’une femme lui avais fait perdre toute les rondeurs qu’il avait pris pendant l’été a grand coup de fruit. Mais il l’avait juré, il trouverai quelqu’un pour garder son trou pendant les dures hivers.

(et c'était... une marmotte bien sûr )

ArtvanCastel a écrit:

L'oncle Teddy était le chouchou des enfants de la maison. C'était leur plus grande source de tendresse et de réconfort. Quand ils avaient des problèmes avec leurs parents, avec l'école ou avec leurs amis, ils venaient se confier à leur oncle bien aimé, pleurant sur son ventre épais et poilu, tandis que sa voix caverneuse les calmaient et que son parfum fruité les apaisaient. Mais, quand vint l'âge de la grande école, ils durent s'en séparer, il s'en débarassaient en pleurant pendant qu'il les saluait de ses bras boudinés qu'on pourrait croire dépourvus de doigts. Mais ils n'en avaient plus besoin, ils étaient grand maintenant. Et, depuis, ils vont quand même le voir en cachette, pour oublier le reste du monde et avoir le meilleur ami possible et sa tête angélique, bien qu'il ne parle que peu.

il s'agissait de... un nounours en peluche bien sûr !

Nays a écrit:

Estina aimait les vêtements. C'était sa principale caractéristique physique. Outre ses cheveux bruns qu'elle essayait de discipliner en accrochant maintes pinces de toutes sorte, on la connaissait et reconnaissait surtout à la masse de vêtements qu'elle portait en permanence. En effet, ceux-ci effaçaient sa silhouette à la faire devenir une forme abstraite. Pourtant, son style vestimentaire était des plus artistiquement discutables. Des couleurs sobres aux plus éclatantes, des chaussettes dépareillées aux pulls abîmant la rétine, on se demandait souvent si Estina n'était pas un peu daltonienne...

Il s'agissait d'un étendoir à linge !

Ouppo a écrit:

Sa masse formait un bloc, un bloc de pierre immense mais assis. Bien droit sur son banc, il observait depuis un temps incertain, à mi-chemin entre le moderne et le contemporain, les gens marchés, les touristes s'attroupés pour regarder et trouver la dame de fer, notre symbole internationale. Il regardait toujours dans une direction opposé à la sienne, coiffé de son chapeau carré noir, il observait de son visage impassible, un peu beige et un peu blanc, il observait de ses multiples yeux aux reflets de verre, de ses lunnettes, dont il avait plusieurs paires qui dépassaient des multiples poches de son costume un peu beige, un peu blanc, comme lui et qui contrastait bien avec son chapeau et les broderies noirs qui parsemaient sa veste et même son pantalon.

C'était... un immeuble haussmanien

Yorfeez a écrit:

Christophe était un individu à la peau lisse et parfaitement symétrique. Ce qui était le plus troublant chez cet homme à qui on n'aurait su donner d'âge, c'était son expression. Toujours la même : celle de la neutralité absolue. Aucune situation, qu'elle fusse extrêmement triste ou grassement joyeuse, ne parvenait à le déstabiliser. Il ne riait jamais. Il ne pleurait jamais. La colère et la peur lui étaient inconnues. Les émotions, il ne connaissait pas. Toutefois, tout ceci ne faisait pas de lui un solitaire. En effet, il fréquentait beaucoup les fêtes et le folklore.

Son mot était... masque

Mister O a écrit:

La jeune femme assise à côté de moi était toujours en activité. Sa chevelure blonde volait dans les courants d'air nauséabonds du métro, tandis qu'elle jonglait entre les onglets de son navigateur et ses documents Word. Ses doigts se baladaient entre les touches, allant à droite, à gauche. Ecrivant un texte interminable sur son ordinateur, elle ne semblait même pas remarquer le rythme du voyage. Habité par une curiosité sans doutes malsaine, je ne pus m'empêcher de lire à la dérobée quelques mots : « fête », « matraque », « instruction », « alcool », « gaz », « cour d'assise » … Mais en vain. À peine en avais-je déchiffré quelques uns que d'autres apparaissaient, à toute allure. Elle semblait épouser tout à fait le cours du temps dans son écriture, comme dans une petite bulle où plus rien d'autre ne comptait.

Son mot était... sablier

Y aura-y-il un prochain atelier ?
J'étais pas bien et n'aie pas pu venir